Ebook Télécharger Les maitres du dessin - Gravure et dessins du XIVème au XXème siècles, by Edwart Vignot
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Les maitres du dessin - Gravure et dessins du XIVème au XXème siècles, by Edwart Vignot
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Détails sur le produit
Relié: 600 pages
Editeur : Place des Victoires (30 octobre 2014)
Collection : Livres d'art
Langue : Français
ISBN-10: 2809912246
ISBN-13: 978-2809912241
Dimensions du produit:
29,8 x 5,4 x 29,9 cm
Moyenne des commentaires client :
4.2 étoiles sur 5
7 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
340.178 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Ouvrage de haute qualité à la tranche dorée et au poids certain. La priorité est réellement donnée aux dessins. C'est un régal pour les amateurs de beaux dessins de toutes époques, certains connus, d'autres moins. La découverte de travaux préparatoires de tableaux célèbres est passionnante. Les reproductions sont de grande qualité.Très bel ouvrage. Excellent investissement pour le particulier, il est incontournable pour une bibliothèque possédant un rayonnage réservé à l'art.
Livre magnifique, photos très soignées. Le livre est assez bien relié et donc solide, il durera dans le temps et l'on pourra le consulter pendant des longues années.
Un beau livre en noir et blanc, à voir, à étudier, et pour moi qui débute, me donne le désir de reproduire, d'essayer !!!C'est un livre très lourd de par sa qualité et son poids !
c'est un magnifique ouvrage, très fourni , très agréable à lire, complet, bonnes reproductions, passionnant et pour un prix très correct
Quand vous voulez vous inscrire à la Newlettter sur le site internet des Éditions Places des Victoire on vous pose entre autres, cette question : Lorsque vous achetez un livre d’art, êtes-vous sensible à la qualité du texte? Pour l’historien de l’art la réponse va de soi. Par contre, pour ce même éditeur reconnu pour la beauté de ses livres, Les Maîtres du Dessins : Gravures et dessins du XIVe au XXe siècles ne réponds pas tout à fait à la rigueur que la Maison se vante d’avoir. La hâte de faire paraître cet ouvrage avant le temps des Fêtes y est sûrement pour quelques choses.Dans une société saturée d’images, tout se trouve nivelé à l’état de pixel exprimés indifféremment sur la page d’un livre ou l’écran d’un ordinateur. Or, ce sont les dimensions d’un objet de collection, la technique d’expression utilisée par l’artiste et la description du support dont il s’est servi qui permettent à l’amateur d’art de bien appréhender l’œuvre dans sa matérialité, à défaut de pouvoir se déplacer dans le musée approprié.Un beau livre avec des textes faits à la va-vite constitue une insulte pour un lecteur intelligent. Avec un auteur du calibre d’Edwart Vignot, le lecteur est en droit de s’attendre à plus de rigueur et surtout, à moins d’erreurs dans les fiches techniques et dans les commentaires des quelques 500 œuvres graphiques magnifiquement reproduites ici. Un véritable appel à l’uniformisation des fiches techniques s’impose ici. Voyons-y de plus près.L’ouvrage se divise en sept chapitres couvrant plus de neuf siècles d’art graphique. Contrairement à ce que l’on annonce au dos de la jaquette, le premier chapitre commence avec des œuvres anonymes du XIIe et XIIe siècles (p. 8) et non avec celles de Jean Pucelle (p. 19) et de Pisanello, du XIVe siècle (p. 39). Les dimensions et les techniques employées pour ces œuvres, choisies dans plusieurs livres manuscrits conservés à la British Library de Londres, sont malheureusement absentes. On pourra excuser l’absence des dimensions des quelques sinopias reproduites, toujours in situ, mais leur omission dans plus de 64 fiches techniques s’avère tout à fait regrettable. Dans ces soixante-quatre cas, on a bien souvent omis les techniques, à moins que celles-ci ne soient complètement erronées. Ainsi, le lecteur se trouve sans renseignement technique au sujet du Dessin préparatoire pour les fresques des Bains Royaux de Ratisbonne d’Albretcht Aldorfer (pp. 300-301). Un dessin exécuté à la pierre noire avec rehauts de blanc d’Annibal Carrache représentant un Buste d’Hercule est devenu un Saint Jérôme dans le désert (p. 386) et est donné comme « eau-forte et gravure » (?). Le dessin est conservé au Musée des Offices de Florence comme l’indique la marque du Musée en bas à droite. La sanguine du même artiste représentant le Portrait d’homme (Baltsassare Aloisi dit le Galanino) (p. 387) aurait dû être signalée comme une sanguine avec rehauts de blanc et non du terme un peu trop générique de … crayon rouge! Les deux Pierre de Cortone (1596-1669) pourtant très connus, n’ont pas leurs techniques, à savoir un fusain avec craie blanche sur papier gris pour le Buste de jeune homme du Cabinet des Dessins et Estampes de la Galerie des Offices de Florence (p. 392), une pierre noire pour Le retour d’Agar du Louvre (p. 393). Du même musée, une sanguine et estompe, lavis de sanguine et lavis brun, avec rehauts de blanc sur papier lavé de beige pour Apothéose d'une sainte : Sainte Firmine et non pas Représentation de Saint Firmin assis sur les nuages comme il est écrit (p. 394). Le dessin a été attribué avec justesse à Guillaume Courtois par Dieter Graf il y a plus de 38 ans . Aussi, il était facile de reconnaître une autre sanguine dans La grotte de Neptune à Tivoli de Jean-Honoré Fragonard. Celle-ci fait partie d’un ensemble de dix dessins conservés au Musée de Besançon et appelés justement « sanguines de la villa d’Este » . Le dessin du Britannique John Glover (1767-1849), Vue du Old London Bridge (p. 432), aurait eu avantage à être signalé comme une aquarelle plutôt qu’un simple dessin monochrome. Un dessin de Dante Gabriel Rossetti (1828-1882) intitulé Profil d’une tête de femme (p.441) est signalé comme une plume et encre de Chine plutôt qu’un crayon et encre de Chine. Le très beau dessin de Pierre-Paul Prud’hon (1758-1823) intitulé L’Amour séduit l’Innocence (p. 453) et maintes fois diffusé, est une œuvre exécutée à la pierre noire et blanche, estompe sur papier bleu. Le Portrait de mademoiselle Barbara Bansi assise dans un paysage italien de Jean Auguste Dominique Ingres (1780-1867) est quant à lui dessiné à la pierre noire avec rehauts de blanc et estompe sur papier beige et conservé au Louvre (p. 457). Que penser du dessin présenté comme une copie de Giambattista Tiepolo intitulé La Présentation au Temple (p. 405) et indiqué ici comme une gravure? Ne s’agirait-il pas d’une belle sanguine? Enfin il y a confusion sur l’artiste italien Telemaco Signorini (1835-1901) que l’on écrit par trois fois Signorini Telemaco (pp. 507-509). Son Assaut du Bargello par les conspirateurs (p. 507) n’est pas seulement un crayon noir sur papier mais surtout un dessin exécuté au pinceau. Il serait ici fastidieux de nommer toutes les œuvres qui n’ont pas reçu leurs techniques, mais disons que les artistes italiens du XVIIe et XVIIIe siècle ont souffert de cette disette (pp. 391-408).Au niveau des attributions, certaines planches peuvent porter à confusion. Certes le dessin de Hans Holbein l’Ancien représentant Ambroise et Hans Holbein[le Jeune] (p.277) est correctement attribué, mais le commentaire laisse entendre que c’est un autoportrait de Hans Holbein le Jeune : cherchez l’erreur… La confusion est totale lorsque l’on arrive au chapitre des dessins de la famille Bruegel : Le Martinswand près de Zirl, dans les Alpes (p.238) n’est pas de Pieter Bruegel le Jeune (1564-v.1637), mais de Pieter Bruegel le Vieux (1528-1569). Par la suite l’auteur répète l’erreur huit fois de suite (pp. 252-263) : il donne le dessin du Paysage des Alpes (p.252) à Bruegel d’Enfer (v. 1564-1637ou 1638) et le décrit comme une encre noire alors que c’est de l’encre brune . Il me semble qu’il aurait été facile de consulter la base Joconde du ministère de la Culture et de la Communication pour avoir la vraie fiche technique de l’œuvre. Aucune indication de technique (crayon, plume et encre brune) pour la Vue des anciennes fortifications d’Amsterdam (p. 253), pas plus pour la belle eau-forte représentant la Vue du détroit de Messine avec de nombreux navires de guerre (pp. 254-255). Le dessin La colère (pp. 260-261) est ici identifié comme une…gravure, alors que c’est une encre sépia.Enfin, la palme de l’insouciance va au dessin de Jacques Callot intitulé seulement par le titre Dessin (p. 353) alors que l’on peut y reconnaître Le combat des Centaures et des Lapithes .La volonté des Éditions Place des Victoires de diffuser l’art sous toutes ses formes ne devrait pas empêcher celles-ci de prendre plus de temps avant de faire paraître leurs superbes ouvrages (sur le plan visuel) et de faire appel à un comité de lecture composée de vrais spécialistes des sujets traités dans leurs livres, sinon, ils ne seront que des beaux livres ou des « coffee table » parmi tant d’autres. La majorité des fiches techniques des œuvres reproduites dans ce volume sont bien faites, mais il y aurait place pour un « errata » ou une nouvelle édition révisée et améliorée. Reproduit dans Dessins italiens du XVIIe siècle du Musée des Offices de Florence, Montréal, MBAM, 1986, pp. 94-97. D. Graf, Handzeichnungen von Guglielmo Cortese und Giovanni Batista Gaulli, Düsseldorf, 1976, pp. 25-26. Aussi publié sous le nom de Guillaume Courtois dans Le dessin français du XVIIe siècle, Paris, Musée du Louvre, 1984, n° 151 et La Rome de Maratti à Piranèse, Paris, Musée du Louvre, 1990, n° 37. Voir à ce sujet P. Rosenberg, Les Fragonard de Besançon. MBAAB, 5 Continents éditions, 2006. On y reconnaît sans peine la muse de Rossetti, Jane Morris l’épouse de Willliam Morris. D’après Giovanni Bellini. Catherine Loisel l’avait très bien identifié dans le catalogue The King’s Drawings from the Musée du Louvre, Atlanta, High Museum of Art, 2006, p. 127, no 79. On a qu’à penser au tableau sur le même sujet peint par Luca Giordano et conservé à l’Ermitage de Saint-Pétersbourg (Inv. 10040). À la décharge d’Edwart Vignot, la page des Crédits indique que les légendes des illustrations et la recherche iconographique est l’œuvre de Margherita Pini.
Les reproductions sont belles, le livre, quoique grand et lourd, est joli (on peut enlever la fourre sur laquelle il y a le code barre), et il y a plus d'images que de textes (juste ce qu'il faut). Bref, tout ce que j'apprécie dans un livre d'art.
ce livre est un vrai trésor, trés bien fait , trés belles reproductions , un plaisir des yeux et un superbe cadeau à faire
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